Du Côté du SNPCC

Vous l'aimez, confiez-le à un professionnel.

Vous l'aimez, confiez-le à un professionnel.

 

Vous l’aimez, confiez-le à un professionnel.

Le SNPCC a lancé une campagne de communication en amont des départs en vacances pour rappeler l’importance de faire appel aux professionnels de la garde : pension, petsitters, promeneurs de chiens.

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Article chien.fr : Cliquez pour le lire dans une nouvelle fenêtre 

Article pets-dating.com : Cliquez pour le lire dans une nouvelle fenêtre 

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Un seul message : Vous l’aimez, confiez-le à un professionnel.

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Discours 07.10.21

L’insertion des jeunes sur le marché du travail, c’est tout simplement dans l’ADN des entreprises de l’U2P.

La formation, initiale et professionnelle, par alternance, est inscrite dans les gènes de nos chefs d’entreprise, dont beaucoup sont eux-mêmes issus de ces filières d’apprentissage.

Bien entendu, nous nous félicitons tous des excellents chiffres de l’apprentissage, une augmentation de plus de 40%, et dans une année particulièrement éprouvante pour les raisons que nous connaissons tous

Nous nous en félicitons, parce que ce sont très majoritairement les petites entreprises (de moins de 50 salariés) qui ont conclu ces contrats : les TPE et PME représentent les deux tiers des embauches d’apprentis en 2020, soit plus de 322 000 contrats, confirmant ainsi leur force d’insertion professionnelle pour les jeunes.

97% des communes accueillent au moins une entreprise de l’économie de proximité. Et donc, sur ces 97% de notre territoire, il y a du potentiel de formation, d’emploi, de création d’entreprise.

Ces entreprises se mobilisent constamment pour former des apprentis à leurs métiers, une nécessité, d’autant que nombre de nos secteurs d’activité sont aujourd’hui en tension et rencontrent de grandes difficultés à recruter. Qui l’eut cru il y a quelques années encore ? Ce sont nos métiers de bouche (boucherie-charcuterie, boulangerie…), nos métiers de fabrication et services (coiffure, esthétique, toilettage), ainsi que nos métiers du bâtiment qui peinent à recruter.

En janvier 2021, l’action de l’U2P a permis l’identification de ces secteurs en tension lors des travaux réalisés avec le Ministère du travail dans le cadre de France Relance et de l’après-crise.

La semaine dernière, je suis allée à la rencontre de nombreux artisans, et je voulais vous faire part de ma stupéfaction !

« recherche apprenti-e , recherche salarié-e»

Les affiches pullulent sur les portes de nos magasins. Bientôt, il va falloir louer des panneaux 4X3 pour faire savoir qu’il y a de l’emploi et de la formation possible.

Alors comment répondre à ce qui s’apparente à une désertion ?

L’une des premières réponses à apporter, est d’aller à la rencontre de nos futurs apprenants dès le collège.

Permettons aux CFA de venir présenter leur offre de formations en apprentissage aux jeunes élèves de 3ème ; Utilisons les heures dédiées à l’orientation au collège et au lycée pour permettre aux entreprises de se rapprocher des établissements scolaires ; Boostons l’organisation de journées « métiers » où les artisans, les chefs d’entreprise de proximité et les professions libérales pourront présenter ce qui fait leur métier ; Développons la pratique des stages en entreprise, et pourquoi pas dès la 4ème, pour que les jeunes vivent et ressentent la passion qui transpire dans nos Très Petites Entreprises.

Connaissances dans les CFA, et compétences dans les entreprises, sont les alliées de la réussite de l’emploi.

Faisons redécouvrir nos métiers à la future génération en leur donnant le goût du travail accompli.

Imaginez un tailleur de pierre… si vous lui dites que son travail consiste à tailler la pierre… que pensez-vous que sera sa motivation ?

A l’inverse, si vous lui dites que son travail va servir à reconstruire Notre Dame de Paris, alors, ce travail prend tout son sens.

Imaginez maintenant que je vous propose de devenir boulanger. Je suis sure qu’une grande partie d’entre vous imagine le réveil qui sonne à 3 heures du matin pour aller faire les croissants.

Fermez les yeux. Et maintenant, Sentez-vous l’odeur du pain chaud ? des croissants ? Pensez aux saveurs qui vont égailler les papilles de vos clients. Reconnaissez que cela change tout !

Nous avons la responsabilité d’un important travail de valorisation de nos métiers auprès du grand public et des familles, afin que les jeunes aient la curiosité de s’y intéresser et, surtout de s’y former.

Redonnons un souffle de jeunesse à nos formations, un élan d’optimisme à la jeune génération. Donnons-leur « le droit à l’erreur d’orientation ».

Garantissons de répondre aux besoins en compétences de nos entreprises.

Redonnons du sens au rôle et aux missions du Maitre d’Apprentissage.

Je vous garantis qu’il existe de nombreux métiers passionnants à découvrir dans la « vraie vie ».

Confucius a dit « Choisissez un travail que vous aimez, et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Nous avons l’espoir que cette première Université Ecole-Entreprise va nous y aider.

Anne-Marie LE ROUEIL

Intervenus suite à l’annonce du lundi 05 avril 2021 par TF1 de la possibilité de venir récupérer un chiot ou chaton chez un éleveur professionnel – détenteur d’un SIRET -, le SNPCC a contacté le Ministère de l’Agriculture afin d’avoir une confirmation officielle.

La réponse est tombée :

Les clients peuvent se déplacer entre 6h et 19 h en cochant la case « motif familial impérieux » sur leur attestation dérogatoire et munis de la confirmation de rendez-vous complétée en amont par le professionnel. Seules les ventes finalisées sont concernées, l’éleveur devant indiquer le numéro d’identification de l’animal. Il serait judicieux que le client ait en sa possession l’acte de réservation ou de vente.

L’animal doit être remis sans contact avec le propriétaire. Les visites restent interdites.

« En cas d’impossibilité pour l’éleveur de recourir à la livraison, le futur propriétaire peut se déplacer en journée entre 6h et 19h, muni d’une attestation dérogatoire de déplacement s’il s’agit d’un déplacement au-delà du périmètre de 10 km autour du domicile. Il devra être coché la case « motif familial impérieux ». Le futur propriétaire devra en outre être muni d’un document transmis par l’éleveur professionnel comportant l’identification de celui-ci et notamment son numéro SIRET ainsi que le lieu et l’heure du rendez-vous. »

FAQ du 08 avril du ministère de l’agriculture

Anne-Marie LE ROUEIL
Présidente SNPCC

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