Le 24 juin 2020, le ministère du Travail a publié la deuxième version du Protocole national de déconfinement visant à aider et accompagner les entreprises à reprendre leur activité tout en assurant la protection de la santé de leurs salariés.
Selon le ministère du Travail, « cette version du 24 juin 2020 se substitue à la version mise en ligne le 3 mai 2020, mais également aux 90 guides et fiches métiers co-élaborés par le ministère du Travail, les autorités sanitaires, les branches professionnelles et les partenaires sociaux ». Selon le ministère, les « guides et fiches conseils métiers n’auront plus de valeur normative . Ils seront prochainement remplacés par une FAQ répondant aux questions concrètes des entreprises ».Le protocole souligne ainsi que la « situation sanitaire en voie d’amélioration significative » ce qui « permet d’envisager un nouvel assouplissement des conditions sanitaires de l’activité » sans toutefois devoir « conduire à relâcher la vigilance face à un risque épidémique qui subsiste comme en témoignent les clusters identifiés depuis la levée progressive du confinement » (p. 3).Le protocole, dans sa nouvelle version, indique que « le dialogue social est un élément essentiel pour la mise en œuvre des mesures prévues par ce protocole » (p. 3).Il précise également qu’au sein des entreprises, « un référent COVID-19 est désigné ». Selon le protocole, « dans les entreprises de petite taille, il peut être le dirigeant ». Ce référent « s’assure de la mise en œuvre des mesures définies et de l’information des salariés. Son identité et sa mission sont communiquées à l’ensemble du personnel » (p. 3).Le protocole ne fait plus référence à la zone des 4m2 minimum par personne, devant permettre de garantir une distance minimale de 1 mètre autour d’une personne (dans toutes les directions).Le protocole indique désormais que « chaque collaborateur doit pouvoir disposer d’un espace lui permettant de respecter la règle de distanciation physique d’au moins un mètre par rapport à toute autre personne (ex. autre salarié, client, usager, prestataire, etc.) » (p. 5).
Selon le ministère du Travail, « cette version du 24 juin 2020 se substitue à la version mise en ligne le 3 mai 2020, mais également aux 90 guides et fiches métiers co-élaborés par le ministère du Travail, les autorités sanitaires, les branches professionnelles et les partenaires sociaux ». Selon le ministère, les « guides et fiches conseils métiers n’auront plus de valeur normative . Ils seront prochainement remplacés par une FAQ répondant aux questions concrètes des entreprises ».Le protocole souligne ainsi que la « situation sanitaire en voie d’amélioration significative » ce qui « permet d’envisager un nouvel assouplissement des conditions sanitaires de l’activité » sans toutefois devoir « conduire à relâcher la vigilance face à un risque épidémique qui subsiste comme en témoignent les clusters identifiés depuis la levée progressive du confinement » (p. 3).Le protocole, dans sa nouvelle version, indique que « le dialogue social est un élément essentiel pour la mise en œuvre des mesures prévues par ce protocole » (p. 3).Il précise également qu’au sein des entreprises, « un référent COVID-19 est désigné ». Selon le protocole, « dans les entreprises de petite taille, il peut être le dirigeant ». Ce référent « s’assure de la mise en œuvre des mesures définies et de l’information des salariés. Son identité et sa mission sont communiquées à l’ensemble du personnel » (p. 3).Le protocole ne fait plus référence à la zone des 4m2 minimum par personne, devant permettre de garantir une distance minimale de 1 mètre autour d’une personne (dans toutes les directions).Le protocole indique désormais que « chaque collaborateur doit pouvoir disposer d’un espace lui permettant de respecter la règle de distanciation physique d’au moins un mètre par rapport à toute autre personne (ex. autre salarié, client, usager, prestataire, etc.) » (p. 5).
Le protocole réaffirme le principe selon lequel, en situation d’impossibilité de respect ou de risque de rupture de la distanciation physique d’au moins 1m, le port du masque est obligatoire pour les salariés (p. 5).
Selon le protocole, une aération régulière des espaces de travail et d’accueil du public est organisée si possible pendant 15 min toutes les 3 heures (contre 15 minutes trois fois par jour auparavant), sinon, il sera nécessaire de s’assurer d’un apport d’air neuf adéquat par le système de ventilation (p. 7).
Le protocole, dans sa nouvelle version, évoque désormais le sujet des visières en précisant qu’elles ne sont pas une alternative au port du masque (p. 9).
Néanmoins, le protocole estime qu’elles sont un moyen supplémentaire de protection du visage et des yeux face aux virus transmis par les gouttelettes en complément du port de masque, et en situation régulière de proximité avec plusieurs personnes, lorsqu’un dispositif de séparation n’est pas possible. La visière doit être nettoyée avec un produit actif sur le virus SARS-CoV-2 plusieurs fois par jour et notamment après chaque utilisation.
Vous pourrez consulter le protocole national de déconfinement des entreprises en cliquant ici.
Source : CNAMS – Juillet 2020