Le début de l’année 2024 apporte diverses modifications touchant le pouvoir d’achat, le soutien aux entreprises, l’accompagnement des demandeurs d’emploi, le handicap, et la formation professionnelle au sein du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion.
Mesures pour le Pouvoir d’Achat
Pour les Actifs
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- Revalorisation du SMIC à 11,65 € de l’heure, soit 1.766,92 € mensuels pour 35 heures hebdomadaires.
- Nouveau montant mensuel net du SMIC à 1.398,69 €, avec des augmentations respectives de 15,61 € et de 45,62 € par rapport à 2023.
Réforme de la Solidarité à la Source
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- Introduction du « net social » sur les bulletins de paie, utilisé pour l’accès au RSA et à la prime d’activité.
Pour les Retraités
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- Revalorisation des pensions de retraite de 5,3%.
- Hausse du minimum vieillesse à 1 012,02 € pour les personnes seules et à 1 571,16 € pour les couples.
Pour les Stagiaires
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- Augmentation de la gratification minimale des stages à 4,35 € par heure de présence effective.
- Introduction de gratifications pour les lycéens professionnels.
Soutien Temporaire aux Entreprises
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- Rehaussement du taux horaire minimum d’allocations pour l’activité partielle et l’APLD.
Accompagnement Renforcé des Demandeurs d’Emploi
Création de France Travail
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- Transformation de Pôle emploi en France Travail pour une assistance élargie aux chercheurs d’emploi et aux entreprises.
Formation des Demandeurs d’Emploi
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- Nouveau plan de financement pour élargir l’accès à la formation.
- Extension des bénéficiaires de formations, notamment pour les jeunes en décrochage universitaire.
Soutien à l’Emploi des Travailleurs Handicapés
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- Suppression de l’orientation spécifique vers le marché du travail ordinaire.
- Attribution automatique de la RQTH aux jeunes en situation de handicap.
Nouvelles Opportunités de Formation
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- Évolution de la validation des acquis de l’expérience (VAE).
- Contrôle renforcé de la qualité des formations.
- Financement élargi du permis de conduire via le CPF.
Autres Changements
- Introduction d’un arrêt maladie spécifique pour fausse couche, exemptant les femmes salariées des jours de carence habituels pour les indemnités journalières maladie.